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L'Open Source serait en difficulté et ce n'est pas la faute des grandes entreprises technologiques,
D'après Jan Kammerath

Le , par Bruno

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29  0 
L’Open Source est-il encore un mouvement idéaliste qui rend les logiciels accessibles à tous ? C’est la question que se pose Jan Kammerath, un développeur qui a assisté à une soirée en Allemagne où il a rencontré des représentants de l’initiative GAIA-X, qui vise à créer un cloud européen alternatif aux géants américains du web. Il raconte dans son récit comment il a été surpris par le manque de financement et de compréhension de l’Open Source de la part des organisateurs de l’initiative, qui attendent que la communauté Open Source mette en œuvre leurs concepts gratuitement, sans leur offrir aucune récompense ni soutien.

Dans l’intention de briser la domination des entreprises américaines en matière de cloud computing, l’Europe lance à l’initiative franco-allemande, GAIA-X. Il s'agit de la création d'un écosystème de Cloud computing qui vise à réduire la dépendance de l'Europe à l'égard des géants de la Silicon Valley, Amazon, Microsoft et Google. La France et l'Allemagne veulent s'allier face à la migration des infrastructures informatiques de leurs institutions et entreprises vers les plateformes dites de cloud (informatique dématérialisée), dominées aujourd'hui par de grands acteurs américains comme Amazon Web Services (AWS), Microsoft (Azure) ou Google.


L’objectif du projet Gaia-X est de permettre aux entreprises et aux institutions européennes de stocker leurs données en Europe, de changer facilement de fournisseur de services et surtout de se protéger de la loi américaine Cloud Act. Cette loi, adoptée en 2018 par les États-Unis, s’appelle Cloud Act (pour « Clarifying Lawful Overseas Use of Data Act »). Elle donne aux autorités américaines le pouvoir de demander aux entreprises de leur transmettre des données vers les États-Unis, même si ces données sont hébergées à l’étranger, dans le cadre d’une enquête pénale.

Citation Envoyé par Jan Kammerath
J'ai rencontré quelques représentants d'organisations participant à l'initiative GAIA-X, qui vise à créer une alternative européenne aux fournisseurs américains de services en nuage tels que Google, Amazon ou Microsoft. C'est un sujet qui ne m'intéresse pas vraiment. Ces initiatives gouvernementales ont souvent tendance à être axées sur la bureaucratie et, à mon avis, ne produisent pas de résultats concrets.
Jan Kammerath analyse ensuite les différentes catégories de projets Open Source actuels et constate que la plupart sont financés ou contrôlés par des grandes entreprises technologiques, notamment américaines. Il remet en question l’idéalisme originel de l’Open Source, tel qu’il a été décrit dans l’ouvrage « La cathédrale et le bazar », et son accessibilité à tous. Il s’interroge sur la possibilité de créer un cloud européen autonome et souverain, basé sur l’Open Source, face à la domination des acteurs commerciaux. Il invite à réfléchir sur le rôle et la responsabilité des développeurs, des utilisateurs et des décideurs dans l’écosystème du logiciel libre.

Kammerath expose la façon dont l’Open Source a évolué depuis son origine idéaliste, qui visait à rendre les logiciels libres et accessibles à tous, jusqu’à sa situation actuelle, où il est largement financé et contrôlé par des grandes entreprises technologiques, notamment américaines. Il décrit les différentes catégories de projets Open Source existants, qui vont du projet solo au projet FAANG, en passant par les survivants sous-financés et les logiciels réellement commerciaux.

Il s’appuie sur l’OSCI, un indice qui mesure la contribution des organisations à l’Open Source, pour montrer que la majorité du soutien et du financement de l’Open Source provient des géants du web. Il soulève ainsi la question de la souveraineté et de la diversité du logiciel libre face à la domination des acteurs commerciaux. Kammerath critique l’argument selon lequel les logiciels libres rendent l’Europe indépendante des fournisseurs américains. Il affirme que l’Open Source a échoué à libérer les utilisateurs et qu’il est largement financé et contrôlé par les grandes entreprises technologiques, notamment américaines.


Kammerath décrit les difficultés de financement et de création d’entreprises de logiciels en Europe, qui ont poussé de nombreux projets Open Source à migrer ou à collaborer avec des acteurs américains. Il dénonce le manque d’intérêt et de compréhension de l’Open Source de la part du grand public, qui ne contribue pas aux projets ni ne lit le code source. Il soulève ainsi la question de la souveraineté et de la diversité du logiciel libre en Europe face à la domination des acteurs commerciaux.

En 2021, Yann Léchelle, PDG de Scaleway a annoncé son retrait du projet GAIA-X. « Le 18 novembre dernier, nous avons annoncé que notre entreprise ne renouvellerait pas son adhésion au projet GAIA-X en 2022. Les objectifs de l’Association, quoique louables au départ, sont de plus en plus détournés et contrariés par un paradoxe de polarisation ayant pour conséquence de renforcer le statu quo, c’est-à-dire une concurrence déséquilibrée. Scaleway choisit de consacrer son temps, ses capitaux et son attention à améliorer son offre multicloud, un facteur clé pour une véritable réversibilité et ouverture », a déclaré Yann Léchelle.


Jan Kammerath affirme que les projets Open Source que nous apprécions sont le fruit du travail et du sacrifice de personnes ou de petites équipes. Il explique que ces créateurs ont dépensé de l’argent et du temps pour leurs projets Open Source, sans jamais obtenir de rétribution. Il souligne que dans un monde où la vie devient de plus en plus chère, où les taxes, les loyers et les difficultés financières augmentent, il y a de moins en moins de personnes qui peuvent et veulent construire et maintenir des projets Open Source. Il remet en cause l’idée de l’Open Source selon laquelle les gens construiraient les logiciels qu’ils aiment pour les partager avec d’autres personnes qui, en retour, financeraient les constructeurs. Il la qualifie de chimère idéologique.

Source : Jan Kammerath's blog post

Et vous ?

Êtes-vous d’accord avec Jan Kammerath qui pense que « l’Open Source est en crise et que ce n’est pas la faute des grandes entreprises technologiques » ?

Quels sont les avantages et les inconvénients de l’Open source par rapport aux logiciels propriétaires, tant pour les développeurs que pour les utilisateurs ?

Partagez-vous l'idée selon laquelle, il y aurait de moins en moins de personnes qui peuvent et veulent construire et maintenir des projets Open Source ?

Comment garantir la pérennité et la qualité des projets Open source face à la concurrence des logiciels commerciaux ?

À votre avis, l’Open Source est-il encore un mouvement idéaliste qui rend les logiciels accessibles à tous ?

Quels sont selon vous, les défis et les opportunités de l’Open source dans le contexte actuel de la transformation numérique ?

Voir aussi :

La France et l'Allemagne lancent Gaia-X, un projet de création d'un écosystème de cloud computing en Europe, qui vise à réduire la dépendance de l'Europe à l'égard des géants de la Silicon Valley

France : Thales et Google créent une coentreprise française de cloud souverain, une offre conçue en France et pour la France

Le cloud souverain n'est pas crédible ? Scaleway abandonne GAIA-X, un projet de développement d'une infrastructure de données compétitive, sécurisée et fiable pour l'Union européenne

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Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 03/11/2023 à 14:10
Citation Envoyé par bruno
dans un monde où la vie devient de plus en plus chère, où les taxes, les loyers et les difficultés financières augmentent, il y a de moins en moins de personnes qui peuvent et veulent construire et maintenir des projets Open Source.
Les dons sont en diminution, les gens en besoin de dons augmentent... logiquement une partie des dév. ira chercher d'autres sources de revenus ou fera pousser des tubercules au lieu de faire du FOSS.

Comment garantir la pérennité et la qualité des projets Open source face à la concurrence des logiciels commerciaux ?
En vrac :
  • L'état pourrait utiliser et soutenir les grand projets source au lieu de financer à tout prix microsoft (par ex à l'école) ; ça coûterait pas plus cher. OK, les icônes sont pas au même endroit, mais un tableur c'est un tableur... et de toutes façons pour ce que vont en faire les élèves.
  • Peut être que sur github ils pourraient mettre un coin pour les remerciements avec une intégrations des plateformes de dons. Parce que sur un projet typique, il y a surtout l'onglet "issues" ("alors, pour la feature x et la résolution du bug y, tu pourrais donner un calendrier ?".
  • Sur les gros projets, il y a pas d'autres solutions que de salarier des dév. Quant à l'argent... Peut être qu'il fallait dès le début faire des licences "gratuit pour les projets FOSS, payant pour les grands groupes et institutions."
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Avatar de Steinvikel
Membre expert https://www.developpez.com
Le 10/09/2024 à 1:27
Quels sont, selon vous, les plus grands défis auxquels le mouvement FOSS est confronté face aux logiciels propriétaires ?
Ce n'est pas que les frontières deviennent floues, mais que les usages du libre changent.
Auparavant il y avait les entreprises qui vendaient des logiciels propeiétaires d'un côté, et les alternatives gratuites, voir libres, de l'autre.
Depuis, beaucoup d'entreprises ont compris l'intérêt de proposer de gratuit "éthique" pour pénétrer le marcher.
Aujourd'hui, les entreprises vendent toujours des logiciels propeiétaires, mais diffusent également des alternatives minimales gratuites et libres (les fameuses versions CE aka "Community Edition".
...à cela se rajoute 2 autres comportements :
1) les entreprises ne diffusant qu'une version, qui est libre, et change la licence pour une licence propriétaire une fois l'adoption de masse effectué
2) les projets communautaires qui, une fois bien évolués, se retrouvent vendu et "propriétarisé", à commencer par un changement de licence, puis un coût d'acquisition.

Un néophyte ne comprends plus rien sur les bien fait des logiciels libres, parce qu'il en voit partout, mais chacun mû par des objectifs et des mécanismes différents. Et c'est là que s'effritte le combat de libre contre le propriétaire ...il ne profite plus de visibilité, ni de clairevoyance ou de vraissemblance pour les néophytes, car pour ceux déjà sensibilisés, c'est une simple guerre de clocher.

Avez-vous déjà utilisé des logiciels FOSS ? Si oui, quelles ont été vos expériences positives et négatives ?
Oui, bureautique et multimedia pour commencer, puis utilitaires système et accessoires, puis virtualisation et autres solutions technique de prototypage, des OS, puis des outils de sécurité, puis des outils spécialisés pour des usages de niches... puis le cycle continue.
En multimédia, que ce soit pour du codec avec VLC ou HandBrake, ou d'autres outils pour d'autres objectifs ...il y avait déjà un fossé gigantesque en leur faveur entre eux et les logiciels historiques propriétaires ...ils ont su évoluer avec les formats et les usages (et les logiciels concurrents).
En bureautique, à l'époque les inconvéniants étaient le manque de fonctionnalités ou leur maturité, mais étaient occultés facilement pour le paramétrage de sa propre ergonomie, d'une possibilité de réglage plus profonde, l'interopérabilité des formats de fichiers à travers des standards ouverts (et pleinement documentés), la légèreté du programme en terme de ressources, la réactivité des patch de correction de bug et de sécurité !
Pour le reste, je dirais que moins c'est démocratisé, moins l'évolution est dynamique, et plus l'interface est austère, et en général, la couverture de fonctionnalités est partielle soit par manque de moyen humain, soit par manque d'argent, soit par manque d'expertise ...certaines problématiques demandent parfois de sacrées compétences ! ^^'

Pensez-vous que les logiciels propriétaires offrent des avantages que les logiciels FOSS ne peuvent pas égaler ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
oui, mais à condition d'être entièrement FOSS et non à 95% (je pense aux bibliothèques et SDK aussi), et suivant le besoin, d'être suffisament démocratisé pour atteindre une masse critique en comportement sociaux.

Comment le mouvement FOSS pourrait-il mieux promouvoir ses avantages auprès du grand public ?
Pour l'instant je ne vois pas quoi faire de plus que ce qui est déjà fait ...outre la vente lié et la pub.

Quels modèles de financement innovants pourraient être adoptés pour soutenir les projets FOSS à long terme ?
...que l'argent publique ne puisse être utilisé que pour financer du code publique ? ...pour commencer

Voyez-vous des opportunités de collaboration entre les entreprises de logiciels propriétaires et les projets FOSS ? Si oui, lesquelles ?
Oui, les entreprises cherchent des solutions adaptés, mais elles n'en trouve que rarement qui leur conviennent ...pourtant beaucoup d'entre elles pourraient payer pour subventionner les ajouts nécessaires ...mais c'est actuellement peu connu dans les moeurs et mal compris des décideurs (pour lesquels contribuer en communauté c'est perdre en concurrence).

Quels types de fonctionnalités ou d’améliorations aimeriez-vous voir dans les logiciels FOSS pour les rendre plus compétitifs par rapport aux logiciels propriétaires ?
j'aimerai voir une imprimante /scanner /webcam ...fonctionner sans pilote, n'ayant à gérer qu'une matrisse de pixels (points) ou une matrisse de vecteurs entre l'ordi' et le périph' ,communicant à travers un protocole/standard ouvert.
Ce qui fait le plus gros frein à toutes les solutions de fonctionnement en groupes, c'est la possibilité inexistante à travers le logiciel de pouvoir aider le créateur sur certains aspects (ex : correction textuelle d'interface, playback de production de bug, etc.) plutôt que de rejoindre une plateforme dédiée au développement.
PS : c'est également valable à énormément de sites d'actualité qui pourraient être pré-corrigés par leur lecteur plutôt que de pérenniser leur coquille sur internet. ^^'

Comment la communauté FOSS peut-elle attirer plus de développeurs et d’utilisateurs ?
Je ne sais pas, là.

Pensez-vous que la transparence et la sécurité des logiciels FOSS sont suffisantes pour convaincre les utilisateurs de passer des logiciels propriétaires aux logiciels FOSS ?
Oui, à condition de pouvoir la mesurer au mouns empiriquement ...la licence ne garantie que des libertés, pas la sécurité.

Quels exemples de succès du mouvement FOSS vous inspirent le plus et pourquoi ?
e/OS, qui apporte un OS de téléphone sans aucune dépendence de Google tout en gardant l'environnement pleinement compatible avec les appli Android.
VLC Media Player, qui à montré à la planète que le libre a un intérêt au-delà de son aspect philantropique, et a presque arrêté la guerre des codec payant (AOMedia s'aprète à l'arrêter).
LibreOffice dans le même esprit, car montrant aux décideurs que des changements d'axes majeurs ça peut ne pas plaire à tous le monde, à commencer par ses dèveloppeurs convaincus.
On peut citer Blender, Inkscape, Gimp, ClamAV (anti-virus)... pour les plus connus.
Mention spéciale pour OBS, Blender, Gimp, et Inkscape ...qui bien que non démocratisé dans les écoles, sont tout de mêmes utilisés par des pros comme outils principaux pour des films, des rendus sur des scène avec écrans géant et illusion d'optique, ou OBS que l'on trouve sur énormément de studio TV et de plateaux en direct !
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 05/11/2023 à 8:36
à partir du moment où l'argent provient d'une grande entreprise, je ne voit pas en quoi cela peut aller dans les intérêt du libre
Si les dons ne sont pas suffisant, Il faut bien payer les frais de fonctionnement. Et c'est légitime que des gros utilisateurs dont font partie les grandes entreprises, qui gagnent de l'argent en exploitant du libre, participent à son financement.

Bien sûr ça pose la question de l'indépendance, mais si les gens faisaient plus de dons, le libre pourrait se passer de l'argent des grandes entreprises.

De grosses entreprises mettent aussi des projets développés en interne en opensource.
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Avatar de moueza
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 04/11/2023 à 6:38
Par exemple, Blender 3D a encore gardé cette philosophie ancrée et les discours de Ton
Roosendaal sont vraiment émouvants là dessus https://youtu.be/0P-hQNzDSk8?si=hRZXbOSiAcqyQ92b .
C'est vraiment admirable. Bravo à tous les contributeurs Open Source.
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Avatar de xbrossard
Membre du Club https://www.developpez.com
Le 03/11/2023 à 18:14
tant que pour les gens open-source == gratuit, la situation n'évoluera pas.
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 04/11/2023 à 23:59
Je donne totalement raison à Jan Kammerath, à partir du moment où l'argent provient d'une grande entreprise, je ne voit pas en quoi cela peut aller dans les intérêt du libre. Ça devient l'Open-Source à des fin d'exploitation pour fire des économies.

De plus, des affaire construites de toute pièce comme la polémique sur Stallman ne fond que décrédibiliser le Libre et l'Open-Source, pou rien. On à affaire dans ce genre de polémique à un milieux qui s'auto-saborde. Mais comme par hasard, de nombreux "anti-Stallman" travaillais aussi pour des grandes entreprises...
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Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 07/12/2023 à 14:15
Les États membres fourniront jusqu'à 1,2 milliard d'euros de financement public
A comprendre : la / le contribuable de chaque états membres.
Tous cela pour espérer rattraper un retard de 10 ans ????
L’UE, commence à devenir de plus en plus chère à chaque contribuable de chaque états membres.
Sans compter qu’il faut financer les nouveaux arrivant dans l’UE !!
Parlez-moi d’économiste de contrebande menant la danse dans cette pathétique UE, plutôt !!
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Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 03/11/2023 à 18:10

Fagus
Membre émérite
Le 03/11/2023 à 14:10
L'état pourrait utiliser et soutenir les grand projets source au lieu de financer à tout prix microsoft (par ex à l'école) ...
Face a ce que empoche Amazon et autre, en utilisant les projets Open Source .
Ton avis est louable , mais bien loin du compte , a mon point de vue.
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Avatar de byrautor
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 05/11/2023 à 12:37
Merci à tous les contributeurs sur cette discussion.
Cet échange d'opinions est enrichissant
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Avatar de RenarddeFeu
Membre averti https://www.developpez.com
Le 10/09/2024 à 1:53
La licence est un concept typiquement anglo-saxon. En droit français, on préfère parler de contrat tacite : l'utilisation d'un logiciel implique l'acceptation des conditions d'utilisation.

Ajouté à cela, la loi, et le Code de la Propriété Intellectuelle en particulier, prévalent sur toute clause contractuelle. Le jargon juridique utilisé dans les accords de licence est là pour faire peur, mais n'a finalement pas une très grande portée.
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